La base :
- Toujours visualiser sa prochaine position couverte et l’itinéraire à suivre pour l’atteindre avant de quitter celle où on se trouve.
- Faire des déplacements les plus courts possibles, découper au maximum le parcours.
- Penser à utiliser le relief naturel du terrain comme couverture lors des étapes du déplacement. Par exemple, préférer se mettre derrière une butte qu’à son sommet, dans un trou que sur une surface plane, etc.
- Toujours préférer la position allongée, à défaut à genoux, éviter au maximum de rester debout.
- Se déplacer en alternance avec son binôme (en tiroir ou en perroquet) pour déstabiliser l’adversaire et éviter l’effet « aller bouge, je t’attends ».
- S’arrêter pour écouter et observer à intervalle régulier.
- Utiliser le bruit du tir de couverture de son binôme pour se déplacer lors d’un engagement.
Déplacement en tiroir :
Lors du déplacement en tiroir, A avance en premier, puis se place. Il est rejoint par B qui se place à son tour, A avance à nouveau.... C'est toujours A qui avance à nouveau en premier. Utile pour un binome constitué d'un joueur prudent et d'un autre plus téméraire, ou pour un binome se constituant d'une réplique de précision et d'une de contact.
Déplacement en perroquet :
Lors d'un déplacement Perroquet, A avance en premier, puis se place. Il est rejoint par B qui au lieu de se poser au même emplacement, continue sa route jusqu'au prochain, puis se pose. Il est rejoint par A qui le dépasse à son tour avant de se placer à l'emplacement suivant.... A et B avancent de la même manière, ils s'imitent (d'où le "perroquet"). Cette progression est idéale pour un binôme équilibré. Elle permet d'alterner le joueur situé devant, et qui doit se concentrer au maximum.
Deplacement urbain :
Comment ne pas se faire repérer :
- S’arrêter un moment après avoir fait du bruit lors d’une phase de déplacement, l’adversaire attribuera la perturbation à la nature.
- Eviter au maximum de faire bouger la végétation autour de soi.
- Eviter de parler, même à voix basse. En effet, si un craquement de branche peut être le fait de la nature, une conversation non…Préférer les signaux manuels tactiques.
- L’œil humain est naturellement attiré par le mouvement. Des mouvements lents se détectent beaucoup moins facilement que des mouvements rapides ou brusques.
- Attention aux reflets de la lumière sur les optiques. Il est recommandé à ceux qui en dispose de n’enlever la protection de l’optique que quand une cible est effectivement repérée. Une autre solution peut-être de cacher l’optique avec une extension pare-soleil.
Où regarder :
En progression groupée, assigner à chacun un secteur de couverture/observation. Il est plus efficace qu’un seul se concentre sur une portion réduite de l’espace à observer plutôt que tous le balaient entièrement.
- En binôme, le premier s’occupe du devant et de la droite, le second de la gauche et de l’arrière.
- A quatre, le premier s’occupe du devant, le second de la droite, le troisième de la gauche, le dernier de derrière.
- Etc. Les progressions de font toujours en nombre pair, le nombre idéal étant de 6.
- Toujours visualiser sa prochaine position couverte et l’itinéraire à suivre pour l’atteindre avant de quitter celle où on se trouve.
- Faire des déplacements les plus courts possibles, découper au maximum le parcours.
- Penser à utiliser le relief naturel du terrain comme couverture lors des étapes du déplacement. Par exemple, préférer se mettre derrière une butte qu’à son sommet, dans un trou que sur une surface plane, etc.
- Toujours préférer la position allongée, à défaut à genoux, éviter au maximum de rester debout.
- Se déplacer en alternance avec son binôme (en tiroir ou en perroquet) pour déstabiliser l’adversaire et éviter l’effet « aller bouge, je t’attends ».
- S’arrêter pour écouter et observer à intervalle régulier.
- Utiliser le bruit du tir de couverture de son binôme pour se déplacer lors d’un engagement.
Déplacement en tiroir :
Lors du déplacement en tiroir, A avance en premier, puis se place. Il est rejoint par B qui se place à son tour, A avance à nouveau.... C'est toujours A qui avance à nouveau en premier. Utile pour un binome constitué d'un joueur prudent et d'un autre plus téméraire, ou pour un binome se constituant d'une réplique de précision et d'une de contact.
Déplacement en perroquet :
Lors d'un déplacement Perroquet, A avance en premier, puis se place. Il est rejoint par B qui au lieu de se poser au même emplacement, continue sa route jusqu'au prochain, puis se pose. Il est rejoint par A qui le dépasse à son tour avant de se placer à l'emplacement suivant.... A et B avancent de la même manière, ils s'imitent (d'où le "perroquet"). Cette progression est idéale pour un binôme équilibré. Elle permet d'alterner le joueur situé devant, et qui doit se concentrer au maximum.
Deplacement urbain :
Comment ne pas se faire repérer :
- S’arrêter un moment après avoir fait du bruit lors d’une phase de déplacement, l’adversaire attribuera la perturbation à la nature.
- Eviter au maximum de faire bouger la végétation autour de soi.
- Eviter de parler, même à voix basse. En effet, si un craquement de branche peut être le fait de la nature, une conversation non…Préférer les signaux manuels tactiques.
- L’œil humain est naturellement attiré par le mouvement. Des mouvements lents se détectent beaucoup moins facilement que des mouvements rapides ou brusques.
- Attention aux reflets de la lumière sur les optiques. Il est recommandé à ceux qui en dispose de n’enlever la protection de l’optique que quand une cible est effectivement repérée. Une autre solution peut-être de cacher l’optique avec une extension pare-soleil.
Où regarder :
En progression groupée, assigner à chacun un secteur de couverture/observation. Il est plus efficace qu’un seul se concentre sur une portion réduite de l’espace à observer plutôt que tous le balaient entièrement.
- En binôme, le premier s’occupe du devant et de la droite, le second de la gauche et de l’arrière.
- A quatre, le premier s’occupe du devant, le second de la droite, le troisième de la gauche, le dernier de derrière.
- Etc. Les progressions de font toujours en nombre pair, le nombre idéal étant de 6.